C’est un éditeur français, David d’Equainville, également auteur du « Manifeste du 25 mars contre la tyrannie de l’hyper-urgence » qui l’a mise en place suite au constat de l’urgence dans laquelle nos sociétés vivent et ce dans le monde entier. Alors pourquoi ne pas remettre à demain.

Quels sont les bienfaits ?

Tout d’abord, l’occasion de laisser de la place à l’oisiveté, celle qui permet de déambuler votre tête de toutes les pensées parasites et la permission que vous vous faites au passage de remettre à demain.

Pas de culpabilité car il y a un prétexte, une excuse pour votre tête qui apprécie par moment avoir plus de temps. Ainsi votre moral s’en trouve plus positif et laisse place à la créativité.

Remettre l’essentiel au coeur de votre quotidien comme disait mon ancien directeur régional, remettre l’église au milieu du village et ne pas perdre de vue ce qui fait que vous vous levez chaque matin. Un ménage de printemps dans ses habitudes toujours bon.

Voir votre taux de cortisol diminuer. Cette hormone du stress qui fait que votre palpitant s’emballe que votre tête se noie dans des choses non importantes non urgentes.

Alors que du bon de s’autoriser une journée où on reporte, on se dit « ce n’est pas grave, ça peut attendre », essayer de temps en temps pour revenir à votre ESSENTIEL et l’indispensable pour vous. Cela se reflète sur votre visage par le sourire que vous allez avoir toute la journée.

Nous sommes tous par moment dans une procrastination qui nous alourdit car nous avons peur de ne pas réussir, d’être jugé, l’angoisse de ne pas faire, de manquer… ET si on jouait avec cette procrastination pour découvrir derrière ces peurs, nos plus grands désirs ?

Le fait de la mettre à l’ordre de votre journée, ce vendredi 25 va permettre de dépasser ses peurs et surtout d’en comprendre le fondement. Essayer de découvrir la pépite qui se cache derrière une procrastination vous permettra d’oser davantage.

C’est parti !